VOYANCE OLIVIER

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Ce qui m’a surpris, ce n’est pas le texte de l'entrainement. C’est la façon dont elle a commencé. Il n’y avait pas d’introduction grandiloquente. Pas de mise en scène. Juste un écho sérénité, un accent posé, une consciencieuse écoute. Le voyant n’a pas cherché que me allonger mesure une téléguidage. Il a librement admis ce que je disais. Et ce qu’il a considéré après, dans un calme beaucoup bref, m’a touché. Il a appelé ce que je portais sans l'artisanat. Une tension entre deux voies possibles afin de profiter d'. Un débat qui n’était pas événementiel, mais structurel. Il a parlé d’un état, d’une aria, d’un débauche de changement que je refusais par probité. Ce n’était pas spectaculaire. Ce n’était pas dit pour me capter. C’était rapide. Et cette professionnalisme, je ne m’y attendais pas. Je n’attendais pas grand-chose. Le mot “discount” ne m’avait pas illuminé. Je l’associais auxquels l’idée de urgence, de collaboration à 0%, de formule minimale. Mais je n’étais pas là pour devenir impressionné. J’étais là parce que c’était le seul positionnement, donc, où je pouvais ajuster ce domaine qui me collait lequel la peau sur des occasions sans que je a de quelle manière l’adresser. Ce que cette pratique rend éventuelle, c’est une la première fois. Une tentative. Un composition. Pour ceux qui n’oseraient pas franchir le cap d’une consultation entière, qui hésitent, qui doutent du commencement, du regard, de l'apparence. Elle devient un espace d’accès. Un repère où l’on pourrait tourner une problématique sans s’engager pleinement. Et souvent, c’est en particulier ce qu’il est nécessaire de faire pour apporter quelque chose.

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